Déjà représentant des usagers au conseil de surveillance du CHU de Poitiers, Bernard Couturier a également accepté de l’être au conseil d’administration du fonds Aliénor.
Pourquoi y a-t-il un représentant des usagers dans le conseil d’administration du fonds Aliénor ?
Je pense que les usagers ont leur place dans ce fonds qui est dédié à la recherche. Cela fait partie des actions dans lesquelles on doit s’invertir en tant qu’usager. Je n’ai pas de mission particulière, mais je participe aux réunions et aux manifestations organisées par le fonds. Cela m’intéresse beaucoup d’écouter les médecins et les représentants des partenaires, comme Dominique Hummel pour le Futuroscope par exemple. Ensuite, je peux communiquer auprès des autres usagers, notamment par le biais du Collectif interassociatif sur la santé (Ciss) Poitou-Charentes. Je me fais l’écho de ce qui peut être dit et fait d’intéressant pour les usagers.
Avez-vous un projet qui vous touche plus que les autres parmi ceux soutenus par le fonds Aliénor ?
Non, je trouve que tous les projets sélectionnés par le comité scientifique ont été tout à fait bien choisis. Ils vont aider des jeunes chercheurs comme le Pr Nicolas Leveziel. Son projet de recherche en ophtalmologie (DMLA) est fort intéressant et je pense qu’il peut apporter beaucoup à la recherche dans les années futures.
Avez-vous envie de proposer des projets à soutenir ou des actions à mettre en place pour récolter des fonds ?
Je suis encore en période d’observation, mais je pense pouvoir proposer des projets à l’avenir sur certaines pathologies. Je suis devenu un ambassadeur du fonds Aliénor, j’en parle dès que possible et j’incite les personnes que je rencontre à faire un don, notamment via la borne de dons sans contact qui se trouve dans Jean-Bernard. Ce fonds est vraiment une excellente initiative.