Amaury de Préville est directeur régional de l’AG2R La Mondiale, un groupe paritaire et mutualiste leader en protection sociale et patrimoniale. Le groupe AG2R la Mondiale a choisi d’aider le fonds Aliénor et plus particulièrement le projet du professeur Nicolas Leveziel sur la dégénérescence liée à l’âge.
Pourquoi le groupe AG2R La Mondiale, et vous en particulier, vous êtes-vous intéressés au fonds Aliénor ?
Aliénor est un bel outil pour aider la recherche sur notre territoire. Nos administrateurs sont intéressés par la dégénérescence maculaire liée à l’âge car c’est la première cause de malvoyance chez les personnes âgées de plus de 60 ans. Cette maladie touche à ce jour 1,5 millions de personnes. D’ici à 2030, nous en compterons 3 millions. La DMLA est un véritable problème de santé publique. Dans le cadre des orientations sociales du groupe AG2R La Mondiale, nous sommes soucieux du bien vieillir de nos assurés. Nous sommes aussi conscients que la malvoyance est un handicap. Accompagner la recherche fondamentale sur la DMLA permettra d’améliorer l’autonomie des personnes âgées et donc leur maintien à domicile.
Pourquoi avoir décidé d’accompagner précisément le Pr Nicolas Leveziel et ses travaux de recherche sur la DMLA au CHU de Poitiers ?
Les travaux du professeur Nicolas Leveziel ont une dimension territoriale forte, et s’inscrivent dans la démarche d’AG2R La Mondiale : faire vivre notre territoire sur des projets structurants et utiles pour notre société.
Qu’attendez-vous de cet accompagnement ?
Nous souhaitons que cet accompagnement aide à l’aboutissement des recherches du professeur Nicolas Leveziel. C’est un projet dont nous savons que les résultats vont survenir d’ici à cinq ans, donc c’est concret. Nous sommes proches de découvrir une thérapie qui pourra enfin soigner cette maladie.
Que retenez-vous de la rencontre du 1er juin, au CHU, avec le Pr Leveziel et Jean-Marc Robinet, le n°2 du groupe Ag2r La Mondiale ?
Cela a été une rencontre agréable dans le sens où le professeur Nicolas Leveziel s’est mis à notre portée. Il a de vraies vertus pédagogiques et didactiques. On a vu qu’il y a une volonté de partager ses travaux. Nous souhaitons que le professeur Nicolas Leveziel rencontre nos assurés lors de conférences ou d’ateliers sur la DMLA, mais aussi qu’il puisse donner des conseils pour prévenir d’autres pathologies liées à l’œil.